Les évolutions règlementaires ainsi que les systèmes de classification nutritionnelle (Nutri-Score) et les applications de consommateurs (Yuka, Open Food Facts, Siga etc…) peuvent paraitre bien contraignants pour une entreprise agroalimentaire.
Elles peuvent toutefois constituer de véritables voies d’amélioration, voire d’innovation des produits alimentaires.
Cependant, la qualité organoleptique reste, fort heureusement, un critère prépondérant dans l’acceptation du produit et l’amélioration nutritionnelle, en maintenant le plaisir de consommation, représente des défis pour la R&D tant en formulation qu’en process.
Le Règlement INCO rend obligatoire la déclaration nutritionnelle (DNO) pour les denrées alimentaires préemballées. Si la forme est très bien définie, plusieurs approches sont admises sur l’obtention des
valeurs à étiqueter : il s’agit de méthodes par calcul et/ou analyse qui ont chacune leurs avantages et leurs inconvénients.
Pour fiabiliser au mieux ces démarches d’établissement des valeurs nutritionnelles, l’Adrianor participe au réseau ACTIA NUTRIPREVIUS qui réunit des centres techniques, des établissements
d’enseignement supérieur et des équipes de recherche au niveau national.
L’un des objectifs de ce réseau est la constitution d’une boite à outils sur la qualité nutritionnelle.
Ainsi, des guides ont été rédigés à destination des professionnels comme le guide ANIA-ACTIA sur
l’étiquetage nutritionnel ou l’outil d’aide à l’optimisation des formules OPTINUT.
Adhérer à l’Adrianor, c’est bénéficier d’un service d’accompagnement de la recette jusqu’à la fabrication des produits.
Réalisé à Lyon par l’Agence AE